ACUDI asbl

Le projet : « Promotion du leadership féminin dans la gouvernance locale et sécuritaire dans la chefferie de Bashali, Province du Nord-Kivu» et ACUDI travaillent d’une manière particulière dans la mobilisation des responsables des services de l’ordre et de sécurité à l’implication des femmes dans la gouvernance locale et sécuritaire en chefferie de BASHALI.

Pour y arriver, cinquante acteurs clés de la gouvernance locale et secrétaire de la Chefferie de BASHALI ont été formés pendant quatre jours sur l’AGENDA FEMMES, PAIX ET SECURITE.

Cette formation vise à soutenir une meilleure prestation des services en matière de défense et sécurité pour les filles et les femmes.

Cette formation facilitée par le Secrétariat technique provincial de la mise en œuvre de la Résolution 1325 du Conseil de Sécurité des Nations Unies a été accomplie avec satisfaction.

Notons que ce projet est exécuté par l’organisation : “Actions des Communautés Unies pour le Développement Intégral, ACUDI” dans la Chefferie de BASHALI en territoire de MASISI, grâce aux financements de l’Ambassade de la Norvège à travers ONUFEMMES.

Objectifs de l’activité :

  1. Objectif GENERAL : Soutenir une meilleure prestation des services en matière de défense et sécurité pour les filles et les femmes.
  2. OBJECTIFS SPECIFIQUES : Renforcer les capacités des agents des services de sécurité sur l’agenda Femme, Paix et Sécurité dans un contexte de conflit.

Résultat obtenu : Les agents des services de sécurité renforcés en capacité sur l’agenda Femme, Paix et Sécurité dans un contexte de conflit.

Nombre des participants désagrégés par âge et par sexe : 200 personnes (40 personnes X 4 jours) parmi lesquelles des agents des services de sécurité, autorités locales, des femmes des associations féminines, etc.  CFR La liste de présence

Etape de réalisation de l’activité

DateActivitésParticipantResponsable
1/07/2023Réunion préparatoireAnimateurs terrain et ComptableAMANI MERVEILLE, Cheffe de projet
1/07/2023Soumission et approbation par Théodore/ONUFEMMESAMANI MERVEIQLLE, Cheffe de projetJacques Muhindo, Coordinateur National
3 au 5/07/2023Contacts et explication de l’activité aux autorités localesAnimateurs terrain, Cheffe de projet, ComptableJacques Muhindo, Coordinateur National
18 Juillet 2023Réunion pédagogique avec le Secrétariat Provincial de la Résolution 1325 du CSNU sur la facilitation de l’atelierCoordonnateur du Secrétariat Provincial et la Chargée de suivi et evaluationJacques MUHINDO, Coordinateur National
20 au 24 juillet 2023Tenu proprement de l’atelierAgents de services de l’ordre et de sécurité AMANI MERVEILLE, Cheffe de projet

DEROULEMENT DES ACTIVITES

Cette formation a connue deux moments majeurs, à savoir:

III.1. NOTIONS SUR LES DROITS HUMAINS

Pour mieux comprendre les droits des femmes, il a été jugé nécessaire de commencer par comprendre les droits humains

A l’issue de cette formation, les participants retenus que les droits de l’homme sont des garanties juridiques universelles qui protègent les personnes et les groupes contre les actions et les omissions contraires aux libertés fondamentales, aux droits et à la dignité humaine. Les droits de l’homme sont l’ensemble des prérogatives reconnues à l’homme du seul fait de sa qualité d’être humain. Ensembles des prérogatives, ou droits inhérents à la nature humaine, qui sont garantis à chaque individu en raison de sa qualité d’être humain par le droit positif ainsi que les autres instruments juridiques internationaux, régionaux en vue de permettre à tout individu de réaliser ou d’atteindre son épanouissement intégral (HCDH). Ils sont reconnus et garantis sur le plan juridique par le droit international et national

Bref, les participants ont retenus que les droits de l’homme ne sont pas de simples idées lancées, des simples déclarations d’intention ou des principes, ou de simples vœux pieux. Ce sont des règles de droit qui engagent et obligent les États qui les ont acceptées et adoptées.

Trois catégories des droits humains, ont été retenues par les participants au cours de cette session de formation, à savoir :

  1. Les droits civils et politiques (Droits de la première génération)
  2. Droit à la vie
  3. Droit à l’intégrité physique
  4. Droit à la liberté et à la sécurité de la personne
  5. Droit à la liberté de mouvement et de résidence
  6. Liberté d’opinion et d’expression
  7. Liberté d’association
  8. Droit de ne pas être tenu en esclavage ou en servitude
  9. Droit de ne pas être soumis à la torture, ou à des traitements cruels, inhumains ou dégradants
  10. Prohibition de la privation arbitraire de la liberté
  11. Droit de propriété, etc.
  12. Les droits économiques, sociaux et culturels (Droits de la deuxième génération)
  13. Le droit au travail, au libre choix du travail, à la protection contre le chômage, etc 
  14. Le droit de fonder des syndicats et de s’affilier au syndicat de son choix 
  15. Le droit à un logement décent et convenable
  16. Le droit à la santé, aux soins médicaux, à la sécurité sociale et aux services sociaux 
  17. Le droit à l’éducation et à la formation professionnelle
  18. Les droits collectifs (Droits de la troisième génération)

Après l’exposé sur les droits humains entre coupé par des travaux en carrefours, les participants ont été outillés sur les sources des droits de l’homme. Il a été noté ce qui suit :

Notons qu’en  premier lieu : les États ont la responsabilité de prendre les mesures nécessaires pour la mise en œuvre des droits de l’homme ; ils doivent veiller à ce que les victimes obtiennent réparation, poursuivre les coupables, prévenir les excès et combattre l’impunité.

Les participants ont compris que ceux qui ont la responsabilité de veiller au respect des droits de l’homme sont entre autre  les organismes et services gouvernementaux, Instituts créés en vertu des principes de Paris (ex. Commission nationale des droits de l’homme), Groupes de défense des droits de l’homme et autres ONG, Organisations communautaires, Tribunaux, Parlement, Médias, Associations professionnels (barreau, corps des médecins), Syndicats, Associations religieuses, Etablissements universitaires.  Au niveau régional : ex. La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples et au niveau international : Comité des droits de l’homme, Comité pour l’élimination de la discrimination raciale,  …

En tant que des acteurs clés de promotion des droits de l’homme ; les participants se sont engagés à :

III.2. NOTONS SUR LES DROITS DE LA FEMME

Grâce à cette session de formation, les participants ont compris que les femmes comme les hommes ont les mêmes droits sur  tous les plans, néanmoins les femmes continuent à subir beaucoup des violations de leurs droits vu leur statut. Certaines pratiques sociales et culturelles négatives font que les femmes dans certaines sociétés n’aient pas droits à la parole, de participer aux assises de prise des décisions, droits à l’héritage, droit à la terre, droit à l’éducation, etc. Conscient du rôle et responsabilité de la femme dans la promotion de la paix et le déclenchement du développement inclusif et durable de la société ; il a été jugé important l’implication de la femme dans toutes les initiatives de paix et de développement. C’est la raison de la mise en place d’instruments juridiques nationaux et internationaux de promotion et protection des droits des femmes.

Les sources juridiques de promotion sont entre autre :

III.3. FORMATION SUR LA RESOLUTION 1325 DU CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS UNIES

A l’issue de l’exposé du facilitateur, les participants ont compris le contexte et l’historique de la résolution 1325 du conseil de sécurité des Nations Unies. Les participants ont compris que cette résolution tire sa motivation de la flambée de violences dans les pays en développement (subsaharienne, asiatique et latino-américains), les exactions accrues de violences sur les femmes, jeunes filles et enfants dans les zones en conflits, la quasi exclusion des femmes victimes des conflits aux mécanismes de négociation, construction de la paix ainsi que de gouvernance. La Rés.1325 ne vient pas du néant. Elle a été précédée d’un grand nombre de déclarations, de Conventions internationales (CEDEF, etc.) et régionales, Des actions de plaidoyers et de lobbying des organisations féminines

 Cette session de formation, a été pour les participants une opportunité de :

Les participants ont compris que la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies, c’est un cadre politique déterminant obligeant à tenir compte des besoins  spécifiques des femmes et de la dimension genre dans toutes les phases du processus de paix: Depuis les accords de paix – au travers des opérations de maintien de la paix, et la planification pour les réfugiés, les déplacés de guerre  et personnes affectées par le conflit – jusqu’à la phase de reconstruction post-conflit et de restauration des structures socioéconomiques détruites par la guerre.

  1. Piliers de la resolution 1325

La Résolution 1325 renferme 4 Piliers qui constituent les axes stratégiques du PAN/PAP1325 ci-après:

  1. La Participation:

Par ce pilier les participants ont retenus que la résolution 1325 du conseil de sécurité des Nations Unies vise à assurer une participation égale des femmes avec les hommes et à promouvoir l’égalité des sexes et la représentation des femmes dans les processus de prise de décisions en matière de paix et de sécurité aux niveaux local, national, régional et international.  Elle affirme l’importance de la participation des femmes et de la prise en compte de la parité hommes-femmes dans les toutes étapes de recherche de la paix et dans la Gouvernance. D’où accroitre le nombre des femmes et les Jeunes Filles,  dans les instances de prise des décisions, des négociations et les missions de maintien de paix, ainsi que dans tout autre mécanisme ayant une incidence sur la paix et la sécurité

Par ce pilier, les participants ont compris que la R1325 est centrée sur les mesures de prévention des conflits, en mettant l’accent sur la prévention de toutes les formes de violations des droits des femmes et des filles en temps de paix, de conflit et après les conflits armés.

Les participants ont été satisfait de savoir que la R1325 se veut assurer/garantir le respect des droits des femmes, des filles et d’autres personnes vulnérables et marginalisées (personnes vivant avec handicap, peuples autochtones, déplacées, refugié-e-s, etc.) pendant et après les conflits. Impliquer les femmes et jeunes filles dans les forces de sécurité, défense et de maintien de la paix. Ce pilier sous-entend aussi le recours au leadership et à la coordination dans la réponse holistique aux violences sexuelles et sexistes. 

A ce sujet, les participants ont été amenés à la promotion de l’autonomisation des femmes, comme facteurs déterminants contribuant à court terme au rétablissement de la stabilité, à la résilience communautaire, à la réinsertion, aux progrès socioéconomiques et au processus d’une paix durable.

III.4. LA BONNE GOUVERNANCE

A l’issue de cette formation, les participants ont été outillés sur la bonne gouvernance afin  d’une gouvernance qui favorise la paix, la cohésion sociale, la participation des femmes. Au cours de cette formation, les participants ont compris ce qui suit :

  1. La gouvernance : c’est le fait de gouverner

La bonne gouvernance consiste à garantir la capacité, la fiabilité et l’intégrité des institutions essentielles de l’Etat, ainsi qu’à améliorer l’aptitude du gouvernement à mettre en œuvre les politiques nationales et exercer les fonctions gouvernementales. C’est la transformation des ressources au profit de la population pour que la vie s’améliore. En bref c’est faire participer la population à ses décisions d’un commun accord en vue d’identifier les problèmes, proposer des pistes de solution à ces problèmes et faire la priorisation lors de la mise en œuvre des solutions proposées.

Les participants ont été outillés sur les valeurs dans la bonne gouvernance

Une bonne gouvernance exige l’implication et la participation de toutes les couches de la population pour avoir une paix durable et un développement rapide de nos entités et l

III.5. AGENDA JEUNESSE, PAIX ET SECURITE

A l’issue de la formation, les participants ont compris que la résolution 2250 du Conseil de sécurité des Nations Unies, a été adoptée le 9 décembre 2015.

Le Conseil de sécurité de l’ONU est l’un des cinq principaux organes de l’ONU: Il est responsable du maintien de la paix et de la sécurité internationale.

La résolution 2250 est née de la détermination des jeunes à faire reconnaître leur contribution et leur engagement. Elle fournit un ensemble de lignes directrices qui  explore.  

La résolution 2250  reconnait le rôle spécifique des jeunes dans questions de paix et de sécurité. La résolution est un jalon important pour la reconnaissance du rôle positif que les jeunes peuvent jouer dans les situations de conflit et de post-conflit.

Les gouvernements sont donc appelés d’accroitre la participation des jeunes à la prise de décision à tous les niveaux dans les institutions locales, nationales, régionales et internationales. Aussi, assurer la protection des civils, incluant spécifiquement les jeunes, en période de conflit et de post – conflit, y compris la protection contre toutes les formes de violence sexiste.

Ainsi, par la résolution 2250,  les Etats sont appelés de prendre en considération les besoins, aspiration et les perspectives des jeunes.

Nos responsabilités en tant  qu’acteurs est de mettre en œuvre des programmes et des stratégies qui garantissent que les jeunes sont engagés en tant que partenaires et agents de changements pour la stabilité politique et la prospérité économique  pour cela nous devons.  

Les responsabilités des jeunes sont des diverses manières, voici quelques-unes :

  1. REACTIONS DES PARTICIPANTS/LECONS APPRISES :
  1. DIFFICULTES RENCONTREES
  1. RECCOMANDATIONS :  

Au cours des travaux en carrefours, les participants ont formulé des actions suivant les 3 approches d’interventions (Nexus) :

Actions Humanitaires

  1. DEROULEMENT DES ACTIVITES

Cette formation a connue deux moments majeurs, à savoir:

III.1. NOTIONS SUR LES DROITS HUMAINS

Pour mieux comprendre les droits des femmes, il a été jugé nécessaire de commencer par comprendre les droits humains

A l’issue de cette formation, les participants retenus que les droits de l’homme sont des garanties juridiques universelles qui protègent les personnes et les groupes contre les actions et les omissions contraires aux libertés fondamentales, aux droits et à la dignité humaine. Les droits de l’homme sont l’ensemble des prérogatives reconnues à l’homme du seul fait de sa qualité d’être humain. Ensembles des prérogatives, ou droits inhérents à la nature humaine, qui sont garantis à chaque individu en raison de sa qualité d’être humain par le droit positif ainsi que les autres instruments juridiques internationaux, régionaux en vue de permettre à tout individu de réaliser ou d’atteindre son épanouissement intégral (HCDH). Ils sont reconnus et garantis sur le plan juridique par le droit international et national

Bref, les participants ont retenus que les droits de l’homme ne sont pas de simples idées lancées, des simples déclarations d’intention ou des principes, ou de simples vœux pieux. Ce sont des règles de droit qui engagent et obligent les États qui les ont acceptées et adoptées.

Trois catégories des droits humains, ont été retenues par les participants au cours de cette session de formation, à savoir :

  1. Les droits civils et politiques (Droits de la première génération)
  2. Droit à la vie
  3. Droit à l’intégrité physique
  4. Droit à la liberté et à la sécurité de la personne
  5. Droit à la liberté de mouvement et de résidence
  6. Liberté d’opinion et d’expression
  7. Liberté d’association
  8. Droit de ne pas être tenu en esclavage ou en servitude
  9. Droit de ne pas être soumis à la torture, ou à des traitements cruels, inhumains ou dégradants
  10. Prohibition de la privation arbitraire de la liberté
  11. Droit de propriété, etc.
  12. Les droits économiques, sociaux et culturels (Droits de la deuxième génération)
  13. Le droit au travail, au libre choix du travail, à la protection contre le chômage, etc 
  14. Le droit de fonder des syndicats et de s’affilier au syndicat de son choix 
  15. Le droit à un logement décent et convenable
  16. Le droit à la santé, aux soins médicaux, à la sécurité sociale et aux services sociaux 
  17. Le droit à l’éducation et à la formation professionnelle
  18. Les droits collectifs (Droits de la troisième génération)

Après l’exposé sur les droits humains entre coupé par des travaux en carrefours, les participants ont été outillés sur les sources des droits de l’homme. Il a été noté ce qui suit :

Notons qu’en  premier lieu : les États ont la responsabilité de prendre les mesures nécessaires pour la mise en œuvre des droits de l’homme ; ils doivent veiller à ce que les victimes obtiennent réparation, poursuivre les coupables, prévenir les excès et combattre l’impunité.

Les participants ont compris que ceux qui ont la responsabilité de veiller au respect des droits de l’homme sont entre autre  les organismes et services gouvernementaux, Instituts créés en vertu des principes de Paris (ex. Commission nationale des droits de l’homme), Groupes de défense des droits de l’homme et autres ONG, Organisations communautaires, Tribunaux, Parlement, Médias, Associations professionnels (barreau, corps des médecins), Syndicats, Associations religieuses, Etablissements universitaires.  Au niveau régional : ex. La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples et au niveau international : Comité des droits de l’homme, Comité pour l’élimination de la discrimination raciale,  …

En tant que des acteurs clés de promotion des droits de l’homme ; les participants se sont engagés à :

III.2. NOTONS SUR LES DROITS DE LA FEMME

Grâce à cette session de formation, les participants ont compris que les femmes comme les hommes ont les mêmes droits sur  tous les plans, néanmoins les femmes continuent à subir beaucoup des violations de leurs droits vu leur statut. Certaines pratiques sociales et culturelles négatives font que les femmes dans certaines sociétés n’aient pas droits à la parole, de participer aux assises de prise des décisions, droits à l’héritage, droit à la terre, droit à l’éducation, etc. Conscient du rôle et responsabilité de la femme dans la promotion de la paix et le déclenchement du développement inclusif et durable de la société ; il a été jugé important l’implication de la femme dans toutes les initiatives de paix et de développement. C’est la raison de la mise en place d’instruments juridiques nationaux et internationaux de promotion et protection des droits des femmes.

Les sources juridiques de promotion sont entre autre :

III.3. FORMATION SUR LA RESOLUTION 1325 DU CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS UNIES

A l’issue de l’exposé du facilitateur, les participants ont compris le contexte et l’historique de la résolution 1325 du conseil de sécurité des Nations Unies. Les participants ont compris que cette résolution tire sa motivation de la flambée de violences dans les pays en développement (subsaharienne, asiatique et latino-américains), les exactions accrues de violences sur les femmes, jeunes filles et enfants dans les zones en conflits, la quasi exclusion des femmes victimes des conflits aux mécanismes de négociation, construction de la paix ainsi que de gouvernance. La Rés.1325 ne vient pas du néant. Elle a été précédée d’un grand nombre de déclarations, de Conventions internationales (CEDEF, etc.) et régionales, Des actions de plaidoyers et de lobbying des organisations féminines

 Cette session de formation, a été pour les participants une opportunité de :

Les participants ont compris que la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies, c’est un cadre politique déterminant obligeant à tenir compte des besoins  spécifiques des femmes et de la dimension genre dans toutes les phases du processus de paix: Depuis les accords de paix – au travers des opérations de maintien de la paix, et la planification pour les réfugiés, les déplacés de guerre  et personnes affectées par le conflit – jusqu’à la phase de reconstruction post-conflit et de restauration des structures socioéconomiques détruites par la guerre.

  1. Piliers de la resolution 1325

La Résolution 1325 renferme 4 Piliers qui constituent les axes stratégiques du PAN/PAP1325 ci-après:

  1. La Participation:

Par ce pilier les participants ont retenus que la résolution 1325 du conseil de sécurité des Nations Unies vise à assurer une participation égale des femmes avec les hommes et à promouvoir l’égalité des sexes et la représentation des femmes dans les processus de prise de décisions en matière de paix et de sécurité aux niveaux local, national, régional et international.  Elle affirme l’importance de la participation des femmes et de la prise en compte de la parité hommes-femmes dans les toutes étapes de recherche de la paix et dans la Gouvernance. D’où accroitre le nombre des femmes et les Jeunes Filles,  dans les instances de prise des décisions, des négociations et les missions de maintien de paix, ainsi que dans tout autre mécanisme ayant une incidence sur la paix et la sécurité

Par ce pilier, les participants ont compris que la R1325 est centrée sur les mesures de prévention des conflits, en mettant l’accent sur la prévention de toutes les formes de violations des droits des femmes et des filles en temps de paix, de conflit et après les conflits armés.

Les participants ont été satisfait de savoir que la R1325 se veut assurer/garantir le respect des droits des femmes, des filles et d’autres personnes vulnérables et marginalisées (personnes vivant avec handicap, peuples autochtones, déplacées, refugié-e-s, etc.) pendant et après les conflits. Impliquer les femmes et jeunes filles dans les forces de sécurité, défense et de maintien de la paix. Ce pilier sous-entend aussi le recours au leadership et à la coordination dans la réponse holistique aux violences sexuelles et sexistes. 

A ce sujet, les participants ont été amenés à la promotion de l’autonomisation des femmes, comme facteurs déterminants contribuant à court terme au rétablissement de la stabilité, à la résilience communautaire, à la réinsertion, aux progrès socioéconomiques et au processus d’une paix durable.

III.4. LA BONNE GOUVERNANCE

A l’issue de cette formation, les participants ont été outillés sur la bonne gouvernance afin  d’une gouvernance qui favorise la paix, la cohésion sociale, la participation des femmes. Au cours de cette formation, les participants ont compris ce qui suit :

  1. La gouvernance : c’est le fait de gouverner

La bonne gouvernance consiste à garantir la capacité, la fiabilité et l’intégrité des institutions essentielles de l’Etat, ainsi qu’à améliorer l’aptitude du gouvernement à mettre en œuvre les politiques nationales et exercer les fonctions gouvernementales. C’est la transformation des ressources au profit de la population pour que la vie s’améliore. En bref c’est faire participer la population à ses décisions d’un commun accord en vue d’identifier les problèmes, proposer des pistes de solution à ces problèmes et faire la priorisation lors de la mise en œuvre des solutions proposées.

Les participants ont été outillés sur les valeurs dans la bonne gouvernance

Une bonne gouvernance exige l’implication et la participation de toutes les couches de la population pour avoir une paix durable et un développement rapide de nos entités et l

III.5. AGENDA JEUNESSE, PAIX ET SECURITE

A l’issue de la formation, les participants ont compris que la résolution 2250 du Conseil de sécurité des Nations Unies, a été adoptée le 9 décembre 2015.

Le Conseil de sécurité de l’ONU est l’un des cinq principaux organes de l’ONU: Il est responsable du maintien de la paix et de la sécurité internationale.

La résolution 2250 est née de la détermination des jeunes à faire reconnaître leur contribution et leur engagement. Elle fournit un ensemble de lignes directrices qui  explore.  

La résolution 2250  reconnait le rôle spécifique des jeunes dans questions de paix et de sécurité. La résolution est un jalon important pour la reconnaissance du rôle positif que les jeunes peuvent jouer dans les situations de conflit et de post-conflit.

Les gouvernements sont donc appelés d’accroitre la participation des jeunes à la prise de décision à tous les niveaux dans les institutions locales, nationales, régionales et internationales. Aussi, assurer la protection des civils, incluant spécifiquement les jeunes, en période de conflit et de post – conflit, y compris la protection contre toutes les formes de violence sexiste.

Ainsi, par la résolution 2250,  les Etats sont appelés de prendre en considération les besoins, aspiration et les perspectives des jeunes.

Nos responsabilités en tant  qu’acteurs est de mettre en œuvre des programmes et des stratégies qui garantissent que les jeunes sont engagés en tant que partenaires et agents de changements pour la stabilité politique et la prospérité économique  pour cela nous devons.  

Les responsabilités des jeunes sont des diverses manières, voici quelques-unes :

  1. REACTIONS DES PARTICIPANTS/LECONS APPRISES :
  1. DIFFICULTES RENCONTREES
  1. RECOMANDATIONS :  

Au cours des travaux en carrefours, les participants ont formulé des actions suivant les 3 approches d’interventions (Nexus) :

  1. DEROULEMENT DES ACTIVITES

Cette formation a connue deux moments majeurs, à savoir:

III.1. NOTIONS SUR LES DROITS HUMAINS

Pour mieux comprendre les droits des femmes, il a été jugé nécessaire de commencer par comprendre les droits humains

A l’issue de cette formation, les participants retenus que les droits de l’homme sont des garanties juridiques universelles qui protègent les personnes et les groupes contre les actions et les omissions contraires aux libertés fondamentales, aux droits et à la dignité humaine. Les droits de l’homme sont l’ensemble des prérogatives reconnues à l’homme du seul fait de sa qualité d’être humain. Ensembles des prérogatives, ou droits inhérents à la nature humaine, qui sont garantis à chaque individu en raison de sa qualité d’être humain par le droit positif ainsi que les autres instruments juridiques internationaux, régionaux en vue de permettre à tout individu de réaliser ou d’atteindre son épanouissement intégral (HCDH). Ils sont reconnus et garantis sur le plan juridique par le droit international et national

Bref, les participants ont retenus que les droits de l’homme ne sont pas de simples idées lancées, des simples déclarations d’intention ou des principes, ou de simples vœux pieux. Ce sont des règles de droit qui engagent et obligent les États qui les ont acceptées et adoptées.

Trois catégories des droits humains, ont été retenues par les participants au cours de cette session de formation, à savoir :

  1. Les droits civils et politiques (Droits de la première génération)
  2. Droit à la vie
  3. Droit à l’intégrité physique
  4. Droit à la liberté et à la sécurité de la personne
  5. Droit à la liberté de mouvement et de résidence
  6. Liberté d’opinion et d’expression
  7. Liberté d’association
  8. Droit de ne pas être tenu en esclavage ou en servitude
  9. Droit de ne pas être soumis à la torture, ou à des traitements cruels, inhumains ou dégradants
  10. Prohibition de la privation arbitraire de la liberté
  11. Droit de propriété, etc.
  12. Les droits économiques, sociaux et culturels (Droits de la deuxième génération)
  13. Le droit au travail, au libre choix du travail, à la protection contre le chômage, etc 
  14. Le droit de fonder des syndicats et de s’affilier au syndicat de son choix 
  15. Le droit à un logement décent et convenable
  16. Le droit à la santé, aux soins médicaux, à la sécurité sociale et aux services sociaux 
  17. Le droit à l’éducation et à la formation professionnelle
  18. Les droits collectifs (Droits de la troisième génération)

Après l’exposé sur les droits humains entre coupé par des travaux en carrefours, les participants ont été outillés sur les sources des droits de l’homme. Il a été noté ce qui suit :

Notons qu’en  premier lieu : les États ont la responsabilité de prendre les mesures nécessaires pour la mise en œuvre des droits de l’homme ; ils doivent veiller à ce que les victimes obtiennent réparation, poursuivre les coupables, prévenir les excès et combattre l’impunité.

Les participants ont compris que ceux qui ont la responsabilité de veiller au respect des droits de l’homme sont entre autre  les organismes et services gouvernementaux, Instituts créés en vertu des principes de Paris (ex. Commission nationale des droits de l’homme), Groupes de défense des droits de l’homme et autres ONG, Organisations communautaires, Tribunaux, Parlement, Médias, Associations professionnels (barreau, corps des médecins), Syndicats, Associations religieuses, Etablissements universitaires.  Au niveau régional : ex. La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples et au niveau international : Comité des droits de l’homme, Comité pour l’élimination de la discrimination raciale,  …

En tant que des acteurs clés de promotion des droits de l’homme ; les participants se sont engagés à :

III.2. NOTONS SUR LES DROITS DE LA FEMME

Grâce à cette session de formation, les participants ont compris que les femmes comme les hommes ont les mêmes droits sur  tous les plans, néanmoins les femmes continuent à subir beaucoup des violations de leurs droits vu leur statut. Certaines pratiques sociales et culturelles négatives font que les femmes dans certaines sociétés n’aient pas droits à la parole, de participer aux assises de prise des décisions, droits à l’héritage, droit à la terre, droit à l’éducation, etc. Conscient du rôle et responsabilité de la femme dans la promotion de la paix et le déclenchement du développement inclusif et durable de la société ; il a été jugé important l’implication de la femme dans toutes les initiatives de paix et de développement. C’est la raison de la mise en place d’instruments juridiques nationaux et internationaux de promotion et protection des droits des femmes.

Les sources juridiques de promotion sont entre autre :

III.3. FORMATION SUR LA RESOLUTION 1325 DU CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS UNIES

A l’issue de l’exposé du facilitateur, les participants ont compris le contexte et l’historique de la résolution 1325 du conseil de sécurité des Nations Unies. Les participants ont compris que cette résolution tire sa motivation de la flambée de violences dans les pays en développement (subsaharienne, asiatique et latino-américains), les exactions accrues de violences sur les femmes, jeunes filles et enfants dans les zones en conflits, la quasi exclusion des femmes victimes des conflits aux mécanismes de négociation, construction de la paix ainsi que de gouvernance. La Rés.1325 ne vient pas du néant. Elle a été précédée d’un grand nombre de déclarations, de Conventions internationales (CEDEF, etc.) et régionales, Des actions de plaidoyers et de lobbying des organisations féminines

 Cette session de formation, a été pour les participants une opportunité de :

Les participants ont compris que la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies, c’est un cadre politique déterminant obligeant à tenir compte des besoins  spécifiques des femmes et de la dimension genre dans toutes les phases du processus de paix: Depuis les accords de paix – au travers des opérations de maintien de la paix, et la planification pour les réfugiés, les déplacés de guerre  et personnes affectées par le conflit – jusqu’à la phase de reconstruction post-conflit et de restauration des structures socioéconomiques détruites par la guerre.

  1. Piliers de la resolution 1325

La Résolution 1325 renferme 4 Piliers qui constituent les axes stratégiques du PAN/PAP1325 ci-après:

  1. La Participation:

Par ce pilier les participants ont retenus que la résolution 1325 du conseil de sécurité des Nations Unies vise à assurer une participation égale des femmes avec les hommes et à promouvoir l’égalité des sexes et la représentation des femmes dans les processus de prise de décisions en matière de paix et de sécurité aux niveaux local, national, régional et international.  Elle affirme l’importance de la participation des femmes et de la prise en compte de la parité hommes-femmes dans les toutes étapes de recherche de la paix et dans la Gouvernance. D’où accroitre le nombre des femmes et les Jeunes Filles,  dans les instances de prise des décisions, des négociations et les missions de maintien de paix, ainsi que dans tout autre mécanisme ayant une incidence sur la paix et la sécurité

Par ce pilier, les participants ont compris que la R1325 est centrée sur les mesures de prévention des conflits, en mettant l’accent sur la prévention de toutes les formes de violations des droits des femmes et des filles en temps de paix, de conflit et après les conflits armés.

Les participants ont été satisfait de savoir que la R1325 se veut assurer/garantir le respect des droits des femmes, des filles et d’autres personnes vulnérables et marginalisées (personnes vivant avec handicap, peuples autochtones, déplacées, refugié-e-s, etc.) pendant et après les conflits. Impliquer les femmes et jeunes filles dans les forces de sécurité, défense et de maintien de la paix. Ce pilier sous-entend aussi le recours au leadership et à la coordination dans la réponse holistique aux violences sexuelles et sexistes. 

A ce sujet, les participants ont été amenés à la promotion de l’autonomisation des femmes, comme facteurs déterminants contribuant à court terme au rétablissement de la stabilité, à la résilience communautaire, à la réinsertion, aux progrès socioéconomiques et au processus d’une paix durable.

III.4. LA BONNE GOUVERNANCE

A l’issue de cette formation, les participants ont été outillés sur la bonne gouvernance afin  d’une gouvernance qui favorise la paix, la cohésion sociale, la participation des femmes. Au cours de cette formation, les participants ont compris ce qui suit :

  1. La gouvernance : c’est le fait de gouverner

La bonne gouvernance consiste à garantir la capacité, la fiabilité et l’intégrité des institutions essentielles de l’Etat, ainsi qu’à améliorer l’aptitude du gouvernement à mettre en œuvre les politiques nationales et exercer les fonctions gouvernementales. C’est la transformation des ressources au profit de la population pour que la vie s’améliore. En bref c’est faire participer la population à ses décisions d’un commun accord en vue d’identifier les problèmes, proposer des pistes de solution à ces problèmes et faire la priorisation lors de la mise en œuvre des solutions proposées.

Les participants ont été outillés sur les valeurs dans la bonne gouvernance

Une bonne gouvernance exige l’implication et la participation de toutes les couches de la population pour avoir une paix durable et un développement rapide de nos entités et l

III.5. AGENDA JEUNESSE, PAIX ET SECURITE

A l’issue de la formation, les participants ont compris que la résolution 2250 du Conseil de sécurité des Nations Unies, a été adoptée le 9 décembre 2015.

Le Conseil de sécurité de l’ONU est l’un des cinq principaux organes de l’ONU: Il est responsable du maintien de la paix et de la sécurité internationale.

La résolution 2250 est née de la détermination des jeunes à faire reconnaître leur contribution et leur engagement. Elle fournit un ensemble de lignes directrices qui  explore.  

La résolution 2250  reconnait le rôle spécifique des jeunes dans questions de paix et de sécurité. La résolution est un jalon important pour la reconnaissance du rôle positif que les jeunes peuvent jouer dans les situations de conflit et de post-conflit.

Les gouvernements sont donc appelés d’accroitre la participation des jeunes à la prise de décision à tous les niveaux dans les institutions locales, nationales, régionales et internationales. Aussi, assurer la protection des civils, incluant spécifiquement les jeunes, en période de conflit et de post – conflit, y compris la protection contre toutes les formes de violence sexiste.

Ainsi, par la résolution 2250,  les Etats sont appelés de prendre en considération les besoins, aspiration et les perspectives des jeunes.

Nos responsabilités en tant  qu’acteurs est de mettre en œuvre des programmes et des stratégies qui garantissent que les jeunes sont engagés en tant que partenaires et agents de changements pour la stabilité politique et la prospérité économique  pour cela nous devons.  

Les responsabilités des jeunes sont des diverses manières, voici quelques-unes :

  1. REACTIONS DES PARTICIPANTS/LECONS APPRISES :
  1. DIFFICULTES RENCONTREES
  1. RECCOMANDATIONS :  

Au cours des travaux en carrefours, les participants ont formulé des actions suivant les 3 approches d’interventions (Nexus) :

Actions humanitaires

Actions à menerResponsable(s)
 organiser le retour de déplacé-e-s (transport)ONGs en collaboration avec le gouvernement
 octroyer les kits de retour : approvisionnement en vivre et en non vivregouvernement et ses partenaires
 appui en médicamentsidem
 Prise en charge holistique des survivant-e-s des violences/conflitsONGs et gouvernement
 Appuyer en tôles les ménages ayant perdu leurs maisons et/ou en abris transitionnelsHumanitaires et gouvernement
 Organiser une table ronde sur l’Agenda Femmes, Paix et Sécurité impliquant toutes les couches sociales et autorités locales de la Chefferie de BASHALIHumanitaires et gouvernement
 Organisation des cours de récupération scolaire en faveur des femmes et jeunes afin qu’ils soient à mesure de s’auto prendre en chargeHumanitaires et gouvernement

Actions de paix et stabilisation

Actions à menerResponsable(s)
 sensibiliser les communautés à la cohabitation pacifique, la cohésion sociale, Tables-ronde et les dialogues démocratiques entre différentes couches sociales, acceptation entre communautésstructures de la société civile en collaboration avec les autorités gouvernementales
 restaurer l’autorité de l’Etat : déployer les services de défense et sécurité dans le zone de retour (PNC, Armée, ANR et Administration)Gouvernement
 renforcer l’étroite collaboration entre le gouvernement, les partenaires et la communautéGouvernement, population et partenaires
 mener des médiations, réconciliations et résolution pacifiques des conflitsAutorités et structures communautaires (SOCIV)
 procéder au ramassage des armes légères et de petits calibres et des effets militaires détenus illégalementGouvernement (FARDC, PNC, ANR)
 Identifier et Désarmer, Démobiliser et réinsérer les porteurs illicites d’armes Gouvernement et ses partenaires (MONUSCO, EAC, SADEC…)
 matérialiser la loi sur les réservistesGouvernement
 Promouvoir la justice équitable : Renforcer la capacité opérationnelle des auxiliaires de la justice ;Activer la justice transitionnelle et réparatriceTribunaux militaires et civiles, Ministère de la Justice et Garde Sceaux, Ministère des Droits Humains
 Appuyer les structures locales de paix à travers les formations des acteurs et actrices de paix et octroie des ressources de subsistanceGouvernement
 Organiser un dialogue communautaire sur les questions spécifiques de la persistance des violences armées en territoire de MASISI, et sur les questions spécifiques des femmesHumanitaires et gouvernement
 Soutenir et accompagner les structures communautaires dans la mise en œuvre effective de l’Agenda Femmes, Paix et Sécurité à la baseHumanitaires et gouvernement

Actions de développement

Actions à menerResponsable(s)
 réhabilitation et réparation des routes de desserte  agricoleGouvernement (autorités locales) et partenaires
 réhabilitation, équipement et opérationnalisation des infrastructures de base (bureaux administratifs, écoles, structures de santé, marchés, points d’eau)Gouvernement et ses partenaires
 accompagnement des structures communautaires dans les activités du domaine de l’agriculture et de l’élevageGouvernement et ses partenaires
 Construire des Centre encadrement socio professionnels des ex combattants, des jeunes et des femmes en métiersOSC avec l’appui du gouvernement 
 Prise en charge holistique des survivant-e-s des violences/conflitsONGs et gouvernement
 Renforcer les capacités des associations des femmes et des jeunes à travers l’appui aux microprojets de développement  localGouvernement et ses partenaires
 Implémenter des coopératives d’Epargne et des Crédits (COOPEC) et des Coopératives AgricolesGouvernement

Vous pouvez télécharger ce rapport avec tous les détails ici